samedi 7 mai 2016

Une affaire qui traîne: 12 février 2015, forêt domaniale de Charleville-sous-Bois (57)


Je lance un petit coup de gueule, cela arrive parfois et il y a de quoi...

L'information (ou la rétention d'informations selon ou l'on se place), fait suite à un article paru le 15 février 2015 dans le Républicain Lorrain concernant l'observation d'un étrange phénomène cylindrique et fortement lumineux se disloquant en trois parties quelque part au-dessus de la forêt domaniale de Charleville-sous-Bois.




Les témoins peut-être pas très au fait de la procédure à suivre ont très certainement effectués leur déposition en Gendarmerie qui au passage dispose de toutes les informations, reste à connaître la brigade en question (Vigy ?). Tout signalement  de PAN/OVNI passant par la maréchaussée est systématiquement transmis au GEIPAN qui a la charge officielle de ces affaires. Ces derniers ont sans doute délégué un de leur enquêteur pour rencontrer ces personnes in-situ afin de peaufiner l'enquête. Le cas en question est intéressant à plus d'un titre et sort un peu du cadre traditionnel des lanternes festives du week-end et autres méprises astronomiques.

Seulement voilà, depuis la publication de cet article dans le Républicain Lorrain, c'est le statu-quo. Aucune autre fuite ou témoin(s) n'ont pu remonter de nouvelles informations. Plus d'un an s'est écoulé et toujours aucun rapport d'enquête n'a été publié sur le site du GEIPAN. 

Bien, je dirais que nous sommes dans la moyenne... En général, il faut bien deux ans au GEIPAN pour publier les cas. Mais tout de même, je m'interroge... Pourquoi est-ce aussi long ? Auront nous l'occasion seulement d'avoir accès à leur enquête et conclusion ? 

J'ai un autre exemple qui me vient en tête sans rentrer dans les détails... Un témoin principal résidant dans une autre région a réussi à prendre le cliché d'un véritable objet structuré très peu altéré en fin de journée le 20 août 2011. Au bas mot, il y a 12 témoins ! L'affaire est tout à fait officielle, un quotidien local l'a relatée en l'a mettant à sa une. Elle a fait le tour du monde (Argentine notamment) ou ce cas a été exposé. 

Dans un premier temps, c'est un enquêteur local qui en a pris la charge et bien évidemment l'information fut transférée au GEIPAN et depuis je vous le donne en mille... Rien ! 

L'Academie d'Ufologie a été sollicité sur cette affaire par le GEIPAN lui-même (utilisation du logiciel Photoshop 7 pour l'étude du cliché). Un entretien vidéo a même été publié sur Youtube. Le témoin est de toute évidence, de bonne foi. Il est ouvert et cherche à rencontrer d'autres personnes ayant vu la même chose ce fameux soir et ne cherche absolument pas à en tirer un quelconque profit. Il est simplement dans l'attente d'obtenir une réponse définitive sur ce qu'il a observé d'autant plus que ce n'est pas la première fois qu'il observe quelque chose.

Cette lenteur administrative est-elle une histoire d'hommes ? De vérifications d'informations ? D'analyses, de contre-analyses ou que sais-je encore ? Qu'est-ce qui bloque ? 

Une mise à l'écart de certains cas pointus dérangeraient-ils à ce point ? 

Ce pose alors la question de l'organisme d'authentification d'images et vidéos IPACO travaillant étroitement avec le GEIPAN n'aurait-il pu se procurer le cliché original pour une telle occasion ? C'est vraiment curieux et incompréhensible...

Toutes ces questions dénotent bien qu'il reste une part d'ombre planant sur un organisme qui se veut informer dans la transparence. J'ose espérer qu'un jour nous prendrons connaissance des détails et circonstances du cas de la forêt domaniale de Charleville-sous-Bois...

En attendant, ce blog joue la carte de la limpidité, du partage et tente d'apporter de l'eau au moulin pour une recherche utile en informant ces concitoyens pour qui ces phénomènes parlent, soit parce qu'ils y sont sensibilisés, témoins ou simples curieux.


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