dimanche 29 octobre 2023

05 Novembre 1990 - Le douloureux cas de Neufgrange-Roth

Histoire de marquer la date anniversaire du 05 Novembre 1990, voici une séquence extraite du documentaire : "Dossiers Surnaturels : 05.11.1990, la Mystérieuse Nuit des Ovni" diffusé sur la chaîne Numéro 23, le 20 Mars 2015.




Description du cas (Source LDLN n°360)

A 19h03, Mme Clouet a son attention attirée par une lumière sur sa gauche. A ce moment, le véhicule est à la hauteur de l'étang de Neufgrange, sur le chemin appelé « route de Roth ». Mme Clouet voit, à la hauteur des arbres bordant le côté opposé de l'étang, une boule plus sombre que le ciel environnant, éclairée par une rangée de hublots carrés émettant une lumière jaune. Cette boule peut avoir un diamètre de 20 à 30 mètres, l'éloignement étant évalué à environ 300 mètres. Stupéfaits, Mme Clouet et son fils voient l'engin, qui était précédemment immobile, se mouvoir lentement d'ouest en est, survoler la forêt et les suivre à distance ! L'objet se trouve dans l'axe du château qui se dresse sur les bords de l'étang. A ce moment, Mme Clouet aperçoit sur sa droite, haut dans le ciel (entre 45 et 60°) un ensemble de six ou sept boules groupées, qui semblent se diriger, en chutant, vers la sphère de gauche. Elles ont l'aspect d'étoiles filantes quant à la couleur, blanc vif, et ont toutes « la taille d'un petit avion ». Ces boules disparaissent derrière la sphère de gauche. La conductrice accélère alors (la voiture ne s'était pas arrêtée, mais roulait à faible allure, pratiquement au pas). L'objet suit la voiture... Les témoins perdent le contact avec l'ovni à l'entrée du village: il disparaît derrière les arbres et les maisons.





Mme Clouet et son fils (âgé de 4 ans) venaient de quitter les beaux-parents à Roth et se dirigeaient vers Neufgrange, le lieu de leur domicile. Le trajet représentait une distance de 2200 mètres. A 19h03, Mme Clouet a son attention attirée par une lumière sur sa gauche. A ce moment, le véhicule est à la hauteur de l’étang de Neufgrange, sur le chemin appelé « route de Roth ». Mme Clouet voit, à la hauteur des arbres bordant le côté opposé de l’étang, une boule plus sombre que le ciel environnant, éclairée par une rangée de hublots carrés émettant une lumière jaune. 

Cette boule peut avoir un diamètre de 20 à 30 mètres, l’éloignement étant évalué à environ 300 mètres. Stupéfaits, Mme Clouet et son fils voient l’engin qui était précédemment immobile, se mouvoir lentement d’Ouest en Est, survoler la forêt et les suivre à distance. L’objet se trouve dans l’axe du château qui se dresse sur les bords de l’étang. A ce moment, le témoin aperçoit sur sa droite, haut dans le ciel (entre 45 et 60°) un ensemble de six ou sept boules groupées, qui semblent se diriger, en chutant, vers la sphère de gauche. Elles ont l’aspect d’étoiles filantes quant à la couleur, blanc vif, et ont toutes « la taille d’un petit avion ». Ces boules disparaissent derrière la sphère de gauche. La conductrice accélère alors (la voiture ne s’était pas arrêtée, mais roulait à faible allure, pratiquement au pas) L’objet suit la voiture. Les témoins perdent le contact avec l’OVNI à l’entrée du village. Il disparaît derrière les arbres et les maisons.

Le trajet a duré 10 mn dont trois consacrées à l’observation.

De retour à la maison, les deux témoins font part de leur observation à Mme Clouet. L’enfant aura énormément de mal à s’endormir et fera par la suite de nombreux cauchemars.

Sources : MT, UFOwave (Gérard Deforge)

Le cas a été étudié par le très sceptique et pointilleux Robert Alessandri, voici les contre-arguments qu'il apporte dans cette affaire...

PS : J'ai retiré quelques passages inutiles

"Pour ce cas, il y avait autre chose dans le ciel qui a ajouté à la confusion, et la réponse était donnée depuis longtemps, cette sphère que voyait Mme Clouet sur sa gauche pendant que passait la rentrée atmosphérique à sa droite, c'était la Lune ! 

Celle-ci se levait tout juste, alors pour être sûr qu'elle était visible depuis la position de Mme Clouet, je m'étais rendu sur place il y a pas mal d'années, avec GPS et appareil photographique, à une date où la Lune se présenterait presque exactement au même emplacement. Le résultat est sans appel, au moment précis où Mme Clouet voyait passer la rentrée atmosphérique, elle avait sur sa gauche, dans la direction de la mystérieuse « sphère noire », ceci : Et le témoignage de Mme Clouet évoque parfaitement le « syndrome de la boule suiveuse », laquelle s'arrête quand on s'arrête, accélère quand on accélère, caractéristique de la plupart des méprises avec notre satellite naturel : on prend la Lune pour un objet proche, et quand on se déplace on le voit donc se déplacer aussi dans le paysage, comme s'il calquait nos actions".

"Quand au fait, surprenant, que la Lune ait été vue comme une sphère noire avec une rangée de hublots, « comme si la sphère était coupée en deux », ça mérite aussi notre attention...

Dans son premier témoignage pour la presse, qui se trouve dans l'article des Dernières Nouvelles d'Alsace, Mme Clouet avait décrit une grosse sphère sombre suspendue dans le ciel, couverte de nombreux hublots carrés éclairés comme des fenètres. On comprend déjà mieux que la Lune puisse être prise pour une « sphère couverte de hublots », par un témoin un peu angoissé qui ne la voit que par intermittence en conduisant, et alors qu'il voit quelque chose de bien plus étrange et impressionnant de l'autre côté ! 


Mais en n'ayant pas d'autre information que cet article de journal, l'ufologue Franck Marie a décidé, lorsqu'il a publié son livre OVNI Contact sur la vague du 5 Novembre, d'illustrer cette vision à sa manière : Et lorsque plusieurs années plus tard l'enquêteur de Lumières dans la Nuit a rencontré Mme Clouet, sa sphère « couverte de hublots » s'est étrangement conformée à la représentation imaginaire de Franck Marie ! 

On a là un cas magnifique de faux souvenir induit par l'enquêteur, celui-ci ayant vraisemblablement montré au témoin l'exposé de son observation par Franck Marie avant de l'interroger... Bref, encore un cas mystérieux en moins".

Notons que Mr Alessandri précise qu'il s'était rendu in-situ pour vérification. La Lune était "presque exactement au même emplacement". Mhhh... en tant que sceptique rationaliste, il doit savoir que les approximations sont sources d'erreurs. En tout état de cause, il ne fourni pas les résultats de ce travail. A quelle date s'y est-il rendu ? Etait-il accompagné d'un tiers pour le confirmer ? Ou peut-on consulter les résultats de cette enquête ?

Je ferais l'impasse sur le reste de son article (L'intégralité est disponible ci-dessous). 

Celà vous donne une idée du traîtement les cas par la frange rationaliste. Sous prétexte que la Lune ait été présente dans la zone indiquée au moment des faits, (vérifiable par le cycle Saros), tout le monde sait très bien que celle-ci est noire ! 

Visiblement, lorsque qu'un enquêteur est un peu trop zélé,"croyant", de tendance "soucoupiste", ou ne fait que reproduire ce que lui décrit un témoin, il est tentant de lui coller l'étiquette de falsificateur de données en induisant de la sorte, de soit-disant faux souvenirs à un témoin. La moindre des choses est de recueillir le récit initial d'un témoin dans ces propres termes, si possible avec un dictaphone, une application pour smartphone, ou n'importe quel autre moyen d'enregistrement pour palier à ce genre de situation accusatrice.

Le but de la manoeuvre consiste à ce que l'hypothèse Lune puisse être totalement en conformité avec l'observation du témoin. Notez qu'il est encore plus facile de faire passer un PAN pour une étoile, un aéronef, tant ils sont nombreux, je ferme la parenthèse.

C'est hélas, un traitement affligé de manière générale à tous ceux qui ne s'alignent pas sur ces personnages qui se revendiquent sceptiques pragmatiques, alors qu'ils appliquent eux-mêmes des méthodes qui vont dans leur sens. 

Matche nul, la balle au centre !

Chacun pensera ce qu'il veut de tout ceci, après tout, nous ne sommes plus à çà près. Les PAN D ont fondus comme neige au Soleil, qu'importe, les PAN sont toujours signalés à travers le monde. Bientôt le GEIPAN pourra être en mesure de fermer définitivement boutique, c'est peut-être mieux ainsi.


jeudi 2 mars 2023

Observation d'un objet en forme d'oeuf en 2011 (ou 2012) à proximité d'Essey-les-Nancy

J'avais pris connaissance de ce cas à l'époque ou je contribuais énormément aux échanges entre passionnés du sujet sur le forum "Les Mystères des Ovnis".

Le témoin vient de nous faire l'honneur de publier son témoignage sur Youtube dans l'espoir de trouver des personnes ayant vécues le même événement. Je contribue modestement à faire passer le message.

Retrouvez son témoignage par écrit et les interactions entre membres du forum en cliquant ICI


dimanche 22 mai 2022

Documents d'archives de FR3 Alsace relatant de cas d'Ovni dans les années 60 et 70




La chaîne Youtube "RDO-TV Orbes Ovni et Paranormal" présente quelques documents d'archives peu connus, voir rares. Certains reportages concernent le Grand Est. Ils sont essentiels pour procéder éventuellement à des contre-enquêtes ou redécouvrir des cas qui jusque là, étaient tombés dans l'oubli, ou n'ont jamais été enquêtés. D'autres documents pourront être proposés à l'avenir, restons vigilant.

Voici un extrait du Magazine du Dimanche de France 3 diffusé le 17 Janvier 1999...


Concernant le cas de Sainte Croix aux Mines du mois de Juillet 1965, je n'ai absolument rien dans mes archives. Mieux, le catalogue Alsacat de Mr Patrick Gross ne le mentionne même pas en tant que méprise alors que le cas avait été médiatisé, étonnant ! En revanche, un autre cas est enregistré en Avril, un an plus tard au même endroit, toujours depuis l'hotel Au Bois du Prince (Cliquez)

L'autre cas digne d'intérêt et complètement lui aussi absent des bases de données, et celui de Mr Gérard Stocky (décédé en Avril 2022), il fut Maire de la commune de Meisenthal depuis 2020. Bien que nous n'ayons pas la date exacte ni le sens de déplacement de cet objet, la description qu'il fourni nous donne de précieuses informations pour qui sait raisonner en terme de physique. 

Un second extrait, plus court mentionne un cas dans le scteur de Saverne le 23 Août 1976.



Plusieurs sources raportent quelques compléments d'informations...


Vers 01 h 00 un objet entouré d'anneaux multicolores s'est approché de la voiture des deux témoins, à 4 ou 5 m du sol et les a suivis lorsqu'ils ont fait demi-tour. Il se déplaçait silencieusement et changeait de forme: de l'oeuf au cigare allongé en devenant éblouissant. Source : Ovni, la fin du secret - Robert Roussel, Belfond 1978, p. 105
  


Vers minuit un jeune couple en voiture d'Ernolsheim à Dossenheim voit une boule lumineuse de 3 à 4 m de diamètre avec des sortes d'antennes lumineuses. Au-dessus de cette boule se trouvent de nombreux points lumineux qui scintillent formant un demi cercle. Le phénomène est observé à basse altitude. Ensuite entre Ernolsheim et Monswiller ils observent une boule de couleur blanc-jaune émettant une lumière bleuâtre et rougeâtre à 2 ou 3 m au-dessus de leur voiture, le même phénomène est observé au-dessus de la maison de la passagère par deux jeunes gens et par les parents. Vers 1 heure, les gendarmes de Saverne alertés l'observent également. L'adjudant Le Martret et le gendarme Paichelier de la brigade de Bouxwiller en patrouille s'arrêtent à l'intersection de la D 105 et voient en direction de Mulhausen un triangle d'où s'échappent des gerbes de feu par la base qui s'illumine et prend l'aspect d'une boule, des changements se produisant toutes les 3 à 4 secondes. Le gendarme Paichelier, après 15 minutes d'observation, se saisit d'un appareil Dacora et prend deux photos (elles seront entièrement noires). Source : Ovni, Premier dossier complet... éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 628, 629. 


Ces cas ont fait l'objet d'une mise à jour de mon "UFO Maps".




dimanche 22 août 2021

Divagations sceptiques sur le dossier Américain de la Navy

 

L'actualité du moment fait en sorte que je m'éloigne un peu de la ligne directrice du blog. Toutefois, ne vous inquiétez pas, j'aurais à vous offrir des infos UFO régionales en temps voulu.


Ce billet ne vise pas un individu en particulier mais une idéologie à l'encontre d'une simple démarche sceptique, j'ai nommé le pseudo-scepticisme qui n'est pas à contrario ce que j'ai pu entendre, une ineptie (voir définition ci-dessous). Je déplore le fait qu'un groupe de personnes prétendent faire partie d'une élite de "sachants" et que tout éléments contraire à leur encontre sont purs fantasmes. De quel droit peuvent-il juger d'une finalité que nulle ne pourrait remettre en question avant même que celle-ci n'aboutisse ? C'est ni plus ni moins faire preuve de spéculations sous couvert d'un argumentaire ad-hoc alors que les faits peuvent nous inciter à d'avantage faire preuve de prudence. Chacune des parties proposant autant que possible, une démarche cohérente. Faire preuve de spéculations est souvent reproché aux tenants des hypothèses exogènes, nous voyons ici qu'elles existent dans le clan adverse. Il est je pense nécessaire de revoir quelques éléments vu l'incompréhension et la suspicion que génère le dossier de la Navy d'une part et le mépris permanent affiché sans complexes envers la communauté ufologique en général.


Le pseudo scepticisme selon Marcello Truzzi (Source Wikipédia).

«Marcello Truzzi, premier codirigeant avec Paul Kurtz du CSICOP, s'est distancié du CSICOP et de certaines formes de critiques du courant sceptique qui, selon lui, auraient dérivé vers ce qu'il appela le pseudo-scepticisme. Ce concept caractériserait le fait de formuler des affirmations négatives sans accepter la charge de la preuve et, dans le champ du paranormal, la position selon laquelle toute donnée soutenant l'existence de phénomènes paranormaux est nécessairement frauduleuse ou mensongère. Truzzi décrit des chercheurs et des démystificateurs qui selon lui se prononçaient sur la validité d'affirmations avant de les avoir expérimentées. Il accusa le CSICOP d'avoir adopté un comportement de plus en plus antiscientifique. D'autres auteurs soutiennent cependant que le concept de pseudo-scepticisme servirait surtout aux tenants d'une ou l'autre pseudo-science pour dénigrer les sceptiques.»


« En science, la charge de la preuve revient à celui qui affirme et plus une affirmation est extraordinaire, plus la charge de la preuve exigée est lourde. Le vrai sceptique a une attitude agnostique, c'est-à-dire qu'il considère une affirmation non prouvée plutôt que démontrée fausse. Il prétend que l'affirmation n'a pas été prouvée et que la science doit continuer à construire ses cartes conceptuelles cognitives d'analyse de la réalité sans tenir compte de l'affirmation. Tant que le vrai sceptique ne fait pas d'affirmation, il n'a rien à prouver. Il ne fait que continuer à utiliser les théories scientifiques établies par les sciences conventionnelles. Cependant, si le critique affirme que l'affirmation a été démontrée fausse, qu'il a une hypothèse négative – disons, par exemple, qu'un résultat d'un test psi est dû à un artefact –, il fait une affirmation et doit alors fournir la preuve de son assertion. »           


Pour un collectif se disant pragmatique et revendiquant la méthode scientifique, les réflexions qu'ils font actuellement me semblent déplacées avec la position qu'ils adoptent depuis toujours. L’actualité Américaine est en pleine effervescence depuis que le Pentagone révélait l'existence d'un programme de recherches sur les les véhicules avancés dont font partis les PANs (l'AATIP = Advanced Aerospace Threat Identification Program). Cela concerne la mise en ligne d'une vidéo réalisée en avril 2021 et publiée en Juin dernier. Imaginez un seul instant le décalage et les nouveaux éléments apparus entre-temps.


"Tic-Tac" (USS Nimitz incident 2004) - Image d'illustration


Les deux protagonistes parlent entre autres, des trois vidéos authentifiées par le Pentagone. Le traitement de ces dernières, est assez laborieux. Je pense que tout le monde réalise que l'ensemble du dossier reste compliqué tant il s'étale sur plusieurs aspects à la fois (Défense, politique, science et juridique). Dans le cadre de l'affaire du "Tic-Tac" (USS Nimitz), la suspicion porte sur les systèmes de résolution radar. Hors ces derniers ont étés calibrés/vérifiés à maintes reprises croyant avoir à faire à des artefacts parasites, bien sur ces "objets" étaient toujours bien présents après vérifications. Le Commander David Fravor et le Commander Chad Underwood présents sur les lieux se feraient presque passer pour des menteurs au point de n'avoir pus reconnaître un éventuel appareil allié. Les pilotes sont entraînés à reconnaître n'importe quelle cible, et les conditions météorologiques étaient d'excellente qualité. Entre-temps, longtemps restée dans l'ombre, la co-pilote du Commander David Fravor, le Lieutenant Commander Alex Dietrich s'est exprimée dans les médias pour porter l'événement à sa juste valeur. Mike West, ex programmeur de jeux vidéo et boss de Metabunk est montré comme étant l’homme de la situation. Il est celui par qui la démonstration, l’analyse et le traitement des images résout tous les problèmes afin de les enrober d'une aura toute prosaïque. Il en faut manifestement très peu aux pseudo-sceptiques pour être convaincus à leur tour de l'analyse de Mike West, qui en soit est une forme de croyance en rapport avec leur étrange dogme idéologique. 


Le Commander Chad Underwood


Au détour de leur forum, on apprend que Lue Elizondo et Jeremy Corbell sont des personnages peu fiables. Ah Bon ! Pour Jeremy Corbell, nous pourrions éventuellement émettre quelques réserves, mais encore faudrait-il accepter le fait que deux de ces vidéos ont étés reconnues et validées par le Pentagone. Ce n’est que récemment que le Pentagone a changé de stratégie, préférant ne plus commenter (voir la dernière vidéo publiée par J. Corbell à ce jour). Cela va de soi ! Il dispose encore d’une dizaine de documents visuels, il livre les plus mauvaises images en préambule pour monter progressivement en puissance, il suit un protocole. Corbell prends soin à chaque fois d'apporter quelques éléments au contexte (ceux qu'il est autorisé à diffuser), mais vu qu'il est jugé "peu fiable" ces personnes font l'impasse, préférant laisser Mike West faire le job. Pour ce dernier, tout est parfaitement explicable... effet Bokeh (USS Theodore Roosevelt 2015), des erreurs de calibration au niveau des systèmes de détection ou des prises de vues, des reflets, des aéronefs lointains, des drones (Flir-1 2004) des ballons (GoFast 2015) sans véritablement convaincre. Tout ceci est analysé de façon stupide, hors contexte. Bref çà vole au raz des pâquerettes. 


La tendance est toujours de remettre en doute la parole de Lue Elizondo ou d'ailleurs n'importe quel autre protagoniste du dossier. Ne comprennent-ils pas qu'il s'agit de faits militaires et que les données ne s'obtiennent pas d'un coup de baguette magique ? L'intégralité des images ou des vidéos peuvent trahir un secret défense, les seules auxquelles nous pouvons avoir accès, sont des fuites orchestrées et des versions courtes. Leur mode de fonctionnement idéologique fait en sorte qu'ils rejettent en bloc la parole de chacun des intervenants car ils sont toujours dans l'attente de quelque chose qu'ils n'arrivent pas à obtenir. Dans cette histoire, ils semble que cela soit les plus frustrés d'entre nous.


Au moment ou fut réalisée cette vidéo, Harry Reid n'était sans doute pas encore intervenu publiquement pour certifier que Lue Elizondo avait bien travaillé au sein de l'AATIP, nous l'avons appris dans sa lettre datée du 26 avril 2021. Il était aussi question de mails disparus mais pas totalement, mais c'est une autre histoire. Il existe d'autres sources permettant de valider sa présence au sein de l'AATIP (The Black Vault de John Greenewald). Discréditer les personnes en fonction de la place qu'elles occupent, voir certains témoins d'Ovni, est un de leur sport favori, fussent-elles Françaises ou étrangères.


Récapitulatif de différents incidents ayant impactés la Navy ces dernières années


Il faudrait sans doute aussi comprendre l'origine de ces fuites et pourquoi les équipes "Snoopie Team" s'entêteraient à vouloir rafaler leurs propres appareils ou ceux d'une hypothétique nation étrangère pour se retrouver dans le domaine public. Tout ceci relève du secret défense, ils ne sont pas tenus à rendre ces images publiques, même de mauvaise qualité. Cela fait peu sens, sauf aux yeux de ceux qui pensent encore qu'il s'agit de vols en essaim de drones Russo-Chinois ou d'une start-up privée utilisant des drones high-tech. C'est écrit noir sur blanc, "Ce ne sont pas les nôtres" et rien dans ce dossier ne permet de valider la présence d'engins issus d'une puissance adverse. Se pose ici alors les questions légitimes que l'on se pose depuis longtemps et qui seront débattues prochainement à mesure que le dossier avance : Que sont-ils réellement ? D'ou viennent-ils ? Que nous veulent-ils ?


Encore une fois, il faut prendre en compte le contexte. Le fait de venir narguer durant plusieurs jours consécutifs une flotte de la Navy sans autorisation est possiblement un acte de guerre. C'est d'autant plus vrai que nous apprenons dans un extrait vidéo publié sur le compte Twitter de J. Corbell (le gars peu fiable), que le Capitaine Chad Underwood explique que son système de verrouillage du radar embarqué a été parasité par des lignes verticales et rendu inutilisable le temps de sa rencontre avec le Tic-Tac. Le brouillage était intentionnel et émis par le "Tic-Tac" (faits mentionnés pour un certain nombre de cas dans le rapport de l'UAPTF). Pour autant que je sache, aucun ordre d'ouvrir le feu n'a été promulgué contre ces visiteurs inconnus, et cela sur n'importe quel théâtre des opérations de la Navy.


Concernant le rapport délivré le 25 Juin, Nous voyons ce petit groupe d'activistes pas comme les autres s'exciter comme des puces. Non, c'est loin d'être un échec ! Il est parfaitement conforme à ce qu'attendaient les personnes qui suivent le dossier depuis le début. Aucune déception à ce niveau puisqu’il s’agit comme son nom l’indique, d’un rapport préliminaire. Personne n'a jamais émit l'hypothèse que « Flying saucers » et autres « Aliens ou Extraterrestrials » soit cités dans ce rapport. Il s'agit dans un premier temps de désigner la présence d'objets défiants toutes les lois de la physique. Les mêmes observés depuis plus de 70 ans. C’est justement dans le contexte historique et l'analyse des données qu’il faut s'appuyer pour juger du potentiel.


Accès au rapport préliminaire en ligne 


Ce petit groupe ne semble pas réaliser la situation dans laquelle nous, nous trouvons. Il ne s’agit pas ici d’observations civiles, mais relevant du domaine de la Défense. Alors question... Bénéficions-nous, ne serait-ce qu'un début de transparence médiatique au niveau de l'observation de PANs au niveau militaire dans notre propre pays ? Je ne pense pas, alors ne boudons pas ici notre plaisir.


Le rapport fait état de 144 cas dont un seul fut expliqué par un ballon dégonflé (le seul qui intéresse Mike West, plutôt rageux de ne pas s’avoir de quel cas il s’agit). West comme ces personnes semblent être plus s'intéressés aux ballons, on se souviendra du ballon Dora l’exploratrice à Toul pour l'une des protagonistes et un tas d'autres méprises remplissant largement leurs opuscules que de tabler sur une méthode expérimentale scientifique pour tenter d'y voir plus clair sur la nature de ces "objets" inconnus. 


Voici un exemple remarquable de ce qu'il faut désormais faire avec l'excellent site UAP Theory.


Ils ne sont pas en capacité de répondre intellectuellement et scientifiquement puisque l'idée même d'une présence extérieure à la nôtre est totalement absente de leur rhétorique. Le problème, c'est que les faits sont plus que convainquant et s'accumulent depuis de nombreuses années pour leur démontrer le contraire. La Scientific Coalition for UAP Studie (SCU) est également là pour leur rappeler qu'ils ne travaillent pas dans la cour des grands, mais plutôt celle des CP qui se chamaillent et braillent en rajoutant du bruit parasite à celui déjà bien présent. Il serait présomptueux de leur part d’admettre que l’homme n’a plus rien à découvrir de nouveau en ce vaste monde. Le rapport de la SCU sur le cas du Nimitz (Tic-Tac) est exemplaire, l'ont-ils lu ou traduit ? Leur confiance en Mick West est aveugle, même les sceptiques Américains reconnaissent faire l'erreur de lui accorder trop de crédit.


En savoir plus sur la "Snoopie Team"

 

Pourquoi encore est-ce ici important d’insister sur le mot analyses ? Pour la simple et bonne raison que dans les rapports d'incidents consignés, il existe au moins un système de mesure ayant été mis en l'œuvre, par conséquent les données techniques existent... Contacts visuels, radars au sol, radars embarqués (aéronefs + navires), gun-camera (vision en mode réel, amplification de lumière et infrarouge), équipes « Snoopie Team » présentes sur le pont des navires, détections sous-marines acoustiques et signatures électromagnétiques pour les objets sous-marins (OANI, OSNI, USO), et suivis de ces objets, si, si… par satellites.


"Il ne s'agit pas seulement de l'observation d'un pilote ou d'un satellite [...] Habituellement, nous avons plusieurs dispositifs qui captent ces choses, et il y en a beaucoup plus que ce qui a été rendu public." (Interview donnée sur Fox News par l’ancien directeur du renseignement national, John Ratcliffe). 


Les enquêtes courantes recueillies par le GEIPAN aidé par ce petit groupe de personnes en tant que bénévoles ne permettent pas d'obtenir de telles données, par conséquent, les témoignages lambda ne peuvent être comparés avec ceux de rapporteurs expérimentés dans un contexte précis. Inutile de brandir ici l'argument d'autorité, il est totalement hors sujet.


Tous ces éléments mis bout à bout font en sorte que ces "objets" ne peuvent plus être ignorés et confondus par quoique ce soit : (hypothétiques aéronefs et drones Russo-Chinois, missiles hypersoniques, phénomènes atmosphériques rares, météorites etc...). Constat dument partagé par la communauté ufologique depuis des décennies et toujours remis en question par une poignée d'individus. Indéniablement, Christopher Mellon et Lue Elizondo marquent la première manche. A savoir que les différentes agences de renseignements vont se coordonner pour recueillir, analyser et centraliser les données. Ceci est spécifié dans un mémorandum signé par Katleen Hicks, Députée Secrétaire à la Défense sorti quelques heures après le rapport préliminaire, et peut-être finalement plus important que ce dernier. 


Mémorandum de la Secrétaire à la Défense


Les points importants à retenir.

1. Établir des procédures pour synchroniser la collecte, le rapport et l’analyse de l’ensemble des problèmes des UAPs et formuler des recommandations pour sécuriser les champs d’essai et d’entraînement militaires.

2. Déterminer les exigences relatives à l’établissement et à l’exploitation de la nouvelle activité, notamment l’alignement organisationnel, les ressources et le personnel requis, ainsi que les autorités nécessaires et un calendrier de mise en œuvre.

3. Être élaboré en coordination avec les Principaux Assistants d’État-major, le Président des Chefs d’État-major Interarmées, les Secrétaires des Départements Militaires et les Commandants des Commandements de Combat, ainsi qu’avec le DNI et d’autres partenaires inter-agences concernés.

Tous les membres du Ministère utiliseront ces processus pour s’assurer que l’UAPTF, ou son activité de suivi, dispose de rapports d’observations des UAPs dans les deux semaines suivant un événement.


Les afficionados qui rejettent l'idée de visites "hors de notre monde" ont-ils bien pris en compte l'ensemble des éléments livrés gracieusement de façon quasi quotidienne par leur ami Suisse ? Au demeurant, il fait plutôt bien son travail, mais j'ai la nette impression que ce petit groupe, picore, survole et ne prend que ce qui l'intéresse pour réduire l'impact des événements et ce qu'ils représentent. Même Sam Harris, sceptique parmi les plus durs à convaincre a fini par modifier son point de vue. Ces personnes sont persuadées que tout ceci n'est qu'une vaste opération de communication / désinformation visant à obtenir de nouveaux budgets pour la Défense et leurs différents partenaires. Les UAPs ne seraient qu'un prétexte, ils n'auraient jamais existés en tant que tels. Voilà comment modifier le sens de l'histoire !

dimanche 6 juin 2021

La vague "Drovni" sur le parc nucléaire Français (2014 -15) élucidée


On a pris la communauté ufologique pour des clowns

Rapidement... Il est de mon devoir d'annoncer ce qui sera difficile à entendre pour certains. C'est la piste que je privilégiais depuis un moment après avoir récolté un maximum d'informations autour de moi. J'émettais l'idée que nous savions mettre en œuvre des stratégies pour diriger et paramétrer un ou plusieurs drones de haute technologie (UAV) civils ou militaires de façon simultanée et coordonnée à distance sur l'ensemble du territoire Français. Je viens d'obtenir confirmation, ne me demandez pas d'où vient cette information, la source est sûre et très bien informée.

Je savais oh combien j'allais être bousculé en l'évoquant sur le forum "Les Mystères des Ovni". J'en ai été banni pour diverses raisons. Le fait d'avoir apporté une information qui n'a pas été prise en compte ne fait pas visiblement de vous une personne de confiance. L'envie de voir des Ovni partout restant la plus forte. Ceci étant, c'est de l'histoire ancienne, n'en parlons plus, je n'y remettrais plus les pieds. Je considère que justice est rendue.

Qu'était-ce donc au juste ? Dans le jargon militaire, on appelle cela une "PsyOps" (opération psychologique). On en entends beaucoup parler actuellement aux Etats-Unis dans le processus de la levée du secret pour décrédibiliser la présence de véritables objets hors de notre monde (un rapport devrait être rendu le 25 Juin 2021). Le but était de tester durant une période définie, la réactivité de tous les acteurs de la filière sur l'ensemble du parc nucléaire Français dans une vaste opération visant à tester les systèmes d'alerte et de sécurité afin de nous prémunir de véritables accidents et autres sabotages terroristes.

Je n'ai aucune idée du nom de ou des sociétés ayant utilisées les drones en question.Vous en avez plusieurs qui peuvent faire le job comme Air Marine, Microdrones France, Airborne Concept, Pragma Industrie, Delair-Tech, etc... Il peut aussi très bien s'agir d'une cellule dédiée de l'armée. Dans tous les cas, la logique veut qu'un donneur d'ordre (ici probablement la DGAC) délivre au préalable toutes les autorisations nécessaires pour passer à l'action en temps et en heure avec un suivi rigoureux de l'espace aérien.

Si nous disposions d'une "Freedom of Information Act" (Loi de la Liberté sur l'Information) en France, nous pourrions demander des comptes à la DGAC. Peut-être qu'un jour cela reviendra sur la table, auquel cas il n'y aura plus d'excuses pour encore en douter.


vendredi 27 novembre 2020

Le point sur les mutilations animales dans le Grand Est (Saison 2020)


Avertissement ! Cet article contient des images pouvant heurter la sensibilité des lecteurs.


Une vague de mutilations sans précédent touchant la France débute officiellement dans le département de la Moselle le 12 février 2020. Les faits ont lieux à la Ferme de la Marchande sur le ban de la commune de Château-Salins.


Gold des Luthiers, première victime en France

Gold des Luthiers âgé de 4 ans a été retrouvé mort au milieu de l'enclos de l'écurie. L'enquête a déterminée qu'il avait reçu un coup sur la tête avant d'être mutilé au niveau de l'oreille droite de façon "clinique", ce qui allait devenir le principal mode opératoire rapporté par les médias, du moins dans un premier temps. Une autopsie fut réalisée par la Clinique le Lézard Bleu de Château-Salins sans avoir connaissance des premiers résultats d'analyses. Toutefois l'enquête est relancée devant l'ampleur nationale et l'on apprends d'autres détails importants: Du sang avait été découvert sur des barrières de l'écurie. Les enquêteurs ont d'abord pensé au sang du cheval et n'ont pas prélevé d'échantillon, selon Hervé Montigny. Mais l'animal n'avait pas de plaie ou de trace de coups, hormis l'oreille découpée. Il pense qu'il ne s'agissait pas du sang du cheval. Il s'interroge encore aujourd'hui sur la façon dont la bête de 600 kg a été tuée : "J'ai tout fait, des analyses des intestins, une autopsie. On n'a rien trouvé", s'étonne encore Hervé Montigny. 

Une semaine plus tard, c'est au tour de la Vendée d'être touchée avec le même mode opératoire, puis une bonne partie du pays, y compris avec quelques cas durant le confinement. Des régions furent touchées plus que d'autres sur une plage de temps réduite avec au total avec + de 400 signalements et +200 enquêtes ouvertes, avec il est important de le préciser, une proportion de cas d’origine humaine avérés, selon la gendarmerie, ce que nous verrons plus loin.

 Le Grand-Est fut relativement épargné pendant de longs mois avant que nos mystérieux dépeceurs fassent à nouveau parler d'eux. Continuons d'évoquer la liste des faits dans notre proche secteur.


Véry (55), lundi 7 septembre.

Les Jeunes Agriculteurs de la Meuse ont posté, lundi en fin de matinée, une photo de ce qu’il reste d’une génisse gisant sur l’herbe d’une pâture. « C’était lundi soir le 7 septembre, mes parents faisaient le tour des parcs et, à l’entrée de l’un d’eux, ils ont trouvé les fils coupés. Et 50 mètres plus loin, ils ont vu une tache blanche », confie Simon Romankow, agriculteur à Véry, en Meuse. La tache blanche était ce qu’il restait d’une de leur génisse charolaise : « Ils ont laissé la peau, la tête, l’appareil digestif et les pattes », poursuit-il. Pour lui, c’est un travail « très propre, c’est quelqu’un qui s’y connaît. Je pense que ça s’est fait la nuit ». Et ce n’est pas la première fois que ce genre d’acte se produit : « C’est la deuxième fois que ça nous arrive. Il y a deux ans, c’était un veau de six mois. » L’an passé, c’était une bête d’un de ses voisins. Pour Simon Romankow, « c’est une personne qui fait son stock de viande pour l’année ». Ces exactions se produisent toujours vers la fin de l’été ou au début de l’automne. L’agriculteur de Véry a déposé plainte.


Mutilation d'une génisse à Véry (55)

Rouvres-en-Woëvre (55), nuit du mercredi 9 au jeudi 10 septembre.

Dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, c’est un veau âgé de 24 heures qui a été retrouvé mort dans une pâture appartenant à un agriculteur de Rouvres-en-Woëvre près d’Étain. Son corps ne présentait qu’une seule blessure : un trou au niveau du cœur, causé par un objet qui n’a pu être défini. Selon les premiers éléments de l’enquête, ce n’est pas une balle qui a causé la blessure. « Toutes les hypothèses restent ouvertes », déclare Guillaume Dupont, le procureur de la République de Verdun. Une autopsie a été ordonnée. Une enquête a été ouverte pour actes de cruauté sur un animal et a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades d’Étain.


Creutzwald (57), vers la mi-septembre.

Un cheval a été retrouvé blessé dans le parc d’un domaine équestre de Moselle-Est sur le secteur de Creutzwald. La jument de compétition, victime d’une blessure large et profonde à une cuisse, a été prise en charge et soignée par un vétérinaire. Elle se porte bien. Le centre équestre est isolé et l’équidé se trouvait avec d’autres chevaux au moment de la découverte. Aucun élément à ce jour ne permet de prendre en compte la thèse accidentelle. Les premières constatations effectuées par les gendarmes laissent penser que l’animal n’a pu s’entailler seul. C’est pourquoi des moyens ont été mis en œuvre par les forces de l’ordre afin de faire toute la lumière sur l’affaire, et vendredi 18 septembre, les personnels de la compagnie de gendarmerie de Boulay-Moselle ont recueilli en soirée les premiers éléments et ouvert une enquête. La brigade de recherche de la compagnie a été mobilisée, ainsi qu’un technicien d’investigation criminelle et un drone. Une enquête de voisinage est également en cours pour essayer de savoir comment cet événement a pu se produire, faute de témoins au moment des faits.


Deux chats mutilés retrouvés le long d'une route à Behren les Forbach

Behren Les Forbach (57), 20 septembre.

Spectacle de désolation pour Isabelle Raineri, bénévole à la SPA. Ce dimanche matin, avertie par un particulier, elle s’est rendue aux abords de la RD31bis pour récupérer deux cadavres de chats. A l’arrivée sur les lieux, un doute l’envahit. Après un examen rapide des deux félins, Isabelle constate que la posture des animaux ne peut être liée à un accident. « La mort est récente, remarque Isabelle. Les corps sont souples et ne présentent pas de rigidité cadavérique. »

En poussant ses investigations, elle constate qu’un des chats est porteur d’un boîtier de type électronique qui apportera peut-être des réponses. Mais l’horreur lui apparaît en pleine face quand elle découvre que le second animal a subi une ablation de ses parties génitales.

Un phénomène en augmentation

La bénévole a ramassé les deux malheureuses bêtes pour les déposer à la SPA de Forbach où les responsables prendront la suite des mesures à donner à cette affaire. Les gendarmes de Behren ont procédé aux premières constations. Isabelle se déplacera à la gendarmerie pour déposer une main courante.

Rejointe par Rachel, bénévole à l’association L’École du chat, les deux collègues du bien-être animal font un constat accablant : « Nous sommes de plus en plus confrontés à des appels de particuliers qui nous signalent des chats morts », raconte les deux bénévoles. « Notamment sur la commune de Behren, précise Rachel. On constate le plus souvent que ces animaux ne sont pas décédés de mort naturelle. Ils subissent des actes de barbarie et font de plus en plus l'objet de maltraitance. »


Rochesson (88), mercredi 23 septembre.

Ce jour-là, un propriétaire a découvert qu’un de ses chevaux présentait deux entailles au niveau de sa croupe gauche. « Cela pourrait correspondre à une intervention humaine », déclare le procureur de la République, Nicolas Heitz, ajoutant que la thèse accidentelle ne pouvait pas être actuellement exclue. « On ne connaît pas encore avec certitude la cause de ces blessures… il faut être extrêmement prudent », ajoute le chef du Parquet, précisant que les investigations techniques permettront d’en savoir plus très prochainement.


Mollau (68), nuit du vendredi 25 au samedi 26 septembre?

Luna, une jument, a été retrouvée avec une grosse plaie sous ses naseaux, un trou profond de 4 cm. Elle avait aussi une entaille superficielle de 30 cm au niveau de l’abdomen et une autre, profonde, au niveau de la patte antérieure.

Tranchées de Docelles en périphérie d'Epinal (88), dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 septembre.

Une jument âgée de 24 ans, était en pension chez un agriculteur. Elle coulait des jours heureux, le temps de sa retraite... Lundi, l'agriculteur a retrouvé la jument morte, sous un arbre. Un objet de plusieurs centimètres aurait été introduit dans son vagin. Un vétérinaire a été appelé, c’est le docteur Charles-François Louf, de la clinique vétérinaire 38,5°, qui a procédé aux constatations sur le cadavre. « Je suis tenu par le devoir de réserve. Les lésions relevées sur l’animal font partie de l’enquête », prévient avant tout le professionnel qui ne s’étendra pas plus sur le sujet. Un objet aurait-il pu s’introduire dans le corps de la jument par accident ? À cette question, le professionnel répond uniquement : « Quelque chose d’anormal s’est passé. Les lésions ne sont pas facilement compréhensibles et pas du tout habituelles. » La mort de l'animal n'est peut-être pas directement liée aux sévices. La jument aurait pu être victime d'une peur panique.


Pfastatt (68), jeudi 1er octobre.

Une enquête a été ouverte par la police à la suite de la découverte d’un cheval sérieusement blessé au niveau d’une épaule à Pfastatt ; une blessure faite par un objet tranchant et par une main humaine. La piste criminelle ou tout du moins malveillante ne fait aucun doute. Dans le contexte actuel des mutilations des chevaux, cela ne va certainement pas calmer les esprits. Jeudi matin, le propriétaire de la ferme équestre « Des quatre vents » à Pfastatt a découvert une de ses bêtes au sol, incapable de se lever. Et pour cause, le cheval avait, planté dans un de ses sabots, une pièce métallique cylindrique. Mais surtout, il était sérieusement blessé au niveau de l’épaule gauche ; une plaie saignante de 16 centimètres de long sur six de large. La plaie était nette et rectiligne. Le vétérinaire amené à intervenir auprès de l’animal pour le soigner a confirmé que cette blessure ne pouvait être liée à un accident, mais bien à une action humaine. En clair, une personne a utilisé un objet tranchant de type arme blanche. Les policiers du Groupe d’Appui Judiciaire du Commissariat Central se sont rendus sur les lieux. L’animal n’était pas dans son enclos habituel mais dans le parc, ce qui laisse supposer que quelqu’un a ouvert les enclos. Plusieurs autres chevaux étaient également à l’extérieur.


Entre Etain et Fresnes-en-Woëvre (55), dans la nuit du jeudi 1er au vendredi 2 octobre.

L’animal a été retrouvé vendredi matin dans un parc situé dans le Nord de la Meuse non loin de Fresnes-en-Woëvre et d’Étain. Le bovin de deux ans présentait des lacérations sur le corps. Des blessures réalisées visiblement avec une arme tranchante. Comme pour les nombreux chevaux mutilés ces dernières semaines , une oreille de l’animal a été également coupée et a été retrouvée sur place. Le bovin a ensuite été mis à mort. Les faits se sont sans doute déroulés dans la nuit précédant la découverte du corps de l’animal. Les quatre autres bovins qui étaient dans ce parc avec lui ont pris la fuite.


Perline, chèvre naine mutilée à Bertrichamps (54)

Bertrichamps (54), dans la journée du 18 octobre.

Perline, une chèvre naine mutilée dans son enclos. Le petit ruminant d’un an et demi a été retrouvé chez un voisin, les deux oreilles coupées et marqué de nombreuses plaies au cou et sur les pattes arrière. Son propriétaire l’a conduit chez le vétérinaire. Une équipe de l’identification criminelle de la gendarmerie s’est rendue sur place. « On a retrouvé une oreille près d’une porte de la maison », signale Romuald Hoffélé. Cet habitant de la commune a récupéré Perline, une de ses chèvres naines, mutilée ce dimanche en début d’après-midi. En visite dans sa famille, il est rentré d’urgence et l’a conduite chez le vétérinaire pour y recevoir des soins. « Ce dernier a confirmé qu’elle n’avait pas pu se faire ces blessures seule ». La chevrette a eu les deux oreilles coupées, porte des lésions multiples sur le cou et les pattes arrière. Elle a une fracture du crâne. « Elle aura des séquelles et sera certainement plus craintive après cette agression. On fait les soins et on la garde. J’y tiens trop ! », assure le propriétaire. Il a prévenu les gendarmes de Baccarat qui ont dépêché une équipe de l’identification criminelle de Nancy. Des prélèvements sur l’oreille ont été effectués en vue d’une analyse ADN. Une attaque animale n’est pas exclue. Romuald Hoffélé ira déposer une plainte ce lundi. La veille, la chèvre et ses deux autres congénères du petit élevage avaient été rentrés dans leur abri. Il est situé dans un enclos protégé électriquement. La caméra de surveillance les montrait tranquille. « Mon voisin a découvert Perline apeurée dans son jardin ce matin vers 11 h. Mon beau-père l’a remise dans son parc. Elle est restée prostrée au sol jusqu’à mon arrivée alors qu’en temps normal c’est une bête enjouée et ultra-vivante ».


Brieulles-sur-Meuse (55), dans la nuit du samedi 17 au dimanche 18 octobre. 

Les faits se sont déroulés dans un grand parc situé à la sortie du village de Brieulles-sur-Meuse dans le Nord du Département. Parc qui accueillait plusieurs chevaux. La jument, baptisée Noblesse, a donc été retrouvée morte. Selon les premières constatations, elle présentait de nombreuses mutilations, notamment des blessures localisées au niveau génital et anal, mais aussi à l’œil, ainsi que des blessures sur le corps. Un vétérinaire expert est venu de Nancy pour examiner l’animal et procéder à une autopsie dont le parquet qui l’a ordonnée, attend les conclusions. Pour l’heure, la cause de la mort n’est pas encore déterminée avec précision. La jument est-elle morte des suites directes des faits qu’elle a subis ou de l’état de stress qui en a résulté ? Une enquête a été ouverte par le parquet de Verdun pour « actes de cruauté envers les animaux ». Elle est menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Dun-sur-Meuse. Les faits ont également été transmis à l’un des bureaux de l’Institut de Recherches Criminelles de la Gendarmerie Nationale qui enquête sur ces faits en France.


Vergaville (57), le 20 octobre en pleine journée!

Le 23 octobre, le Républicain Lorrain rapporte qu'à Vergaville (57), Eagle, un cheval mâle âgé de 6 ans a été blessé profondément au niveau du muscle de la partie droite du fessier avec une plaie mesurant entre vingt et trente centimètres, s’étant écarté sur dix bons centimètres pour une profondeur de cinq centimètres environ. Ce serait-il blessé lui-même? Lorsque le vétérinaire est venu soigner Eagle, il a contacté la gendarmerie de Dieuze, comme le veut désormais la procédure en pareil cas. Les militaires sont arrivés avec un large détachement, composé notamment de techniciens de l’identification criminelle. Ils ont passé l’enclos au peigne fin, mais n’y ont trouvé aucun matériel ou objet quelconque sur lequel le cheval aurait pu se blesser seul, par mégarde. La piste d’une mutilation intentionnelle avec une lame reste donc ouverte, même si le propriétaire du paint horse n’y croit pas. Il a tout de même déposé plainte, afin que toutes les investigations puissent suivre leur cours. Quant à Eagle, c’est un dur à cuire. Et, qu’il ait été poignardé ou qu’il se soit montré maladroit, il se porte plutôt bien. Ses jours ne sont pas en danger.


Fleury (57), nuit du 2 au 3 décembre.

« On voit ça dans la presse ou à la télé mais on ne pense pas que ça peut arriver près de chez nous ! C’est triste de voir qu’une vache a été massacrée et un cheval blessé sur notre commune ! C’est tranquille ici ! Pourquoi ont-ils fait ça et comment ont-ils pu approcher ces animaux ? », s’interroge cet habitant de Fleury.

L’annonce du massacre d’une vache et de la mutilation d’un cheval a semé un certain effroi parmi la population. Contactés, les propriétaires des deux animaux, très choqués, n’ont pas souhaité s’exprimer. Ils ont déposé plainte pour actes de cruauté auprès de la brigade locale, chargée de l’enquête en co-saisine avec la brigade de recherches de Metz.

C’est dans la nuit de mercredi à jeudi que les faits se seraient déroulés dans ce petit village périurbain de 1 230 habitants. Dans un pré, en bordure de la D913, l’agriculteur a fait la macabre découverte d’une vache morte, énucléée.

À 500 mètres de là, durant la même nuit, c’est un cheval, placé dans une pension équestre, qui a été grièvement blessé d’un coup porté au niveau de la jugulaire, à l’aide d’un objet type barre de fer ou couteau. Placé en observation, sa plaie suturée, l’équidé devrait être tiré d’affaire.

Des précédents en Moselle et dans la France entière.

Voilà qui ravive le spectre de la série morbide d’actes de cruautés commis, depuis le début de l’année , dans diverses régions de France, sur des équidés et bovins tués ou mutilés. Et, plus récemment, dans la Meuse avec une jument mutilée et un bovin lacéré mais également, en septembre, près de Creutzwald où une jument a été retrouvée blessée ou en février lorsqu’un cheval a été découvert mort, l’oreille droite coupée, au lycée agricole de Château-Salins. Depuis plusieurs mois, les gendarmes multiplient les contacts avec les propriétaires de chevaux alors que la Fédération française d’équitation appelle à la vigilance.

« Il faut savoir raison garder et ne pas se lancer dans une chasse aux sorcières », souligne Gilles Vavrille, le maire de Fleury.

« Les propriétaires sont traumatisés. Les gens s’inquiètent. Une psychose est en train de s’installer mais il faut être prudent. Être vigilant, comme pour tout, et prévenir, au plus vite, les gendarmes pour toutes les choses inhabituelles qui se produisent. Malheureusement, nous ne sommes pas les seuls à être confrontés à cette barbarie qui se produit dans toute la France. Essayer de trouver une explication à ce genre d’acte dépasse l’entendement. Il faut calmer le jeu, que ces gens soient identifiés et punis par la justice. »


Des signes avant coureurs ?


Veau mort dans un ruisseau proche de Brouviller (57)

Je compile depuis quelques temps les faits bizarres parus dans le Républicain Lorrain et il apparait que des faits comparables ont eu lieux dans le passé. Ainsi entre 2010 et 2012 à Brouviller (57), ce sont trois veaux qui furent malmenés et découverts dans un ruisseau avec là encore, l'ablation d'une oreille prétextant faire disparaître les bagues d’immatriculation et les chances d’identifier leur élevage d’origine. Le 3 décembre 2015, c'est à Ohrenthal (57) au Pays de Bitche qu'une génisse est découverte le coup tranché sur le côté laissant apparaitre la colonne vertébrale dévorée et rognée.


Génisse mutilée à Ohrenthal (57)

On apprends aussi qu'un éleveur de lamas et alpagas du village a retrouvé deux de ces bêtes avec la colonne coupée en deux. Les commentaires insinuent que c'était l'oeuvre d'un loup. Un mouton fut également découvert sur le ban de la commune la gorge tranché, mais là ce serait dû à de grands corbeaux en transit dans la région. Les prélèvements ADN ont confirmés qu'il ne s'agissait pas d'un loup nous dit-on mais "sans doute un canidé"... Etrange.


Conclusion.

Nous le voyons, les mutilations sont vraisemblablement de multiples nature. Toutefois j'ai voulu étendre le champ au maximum. Ainsi les deux chats figurent de manière anecdotique dans cette suite macabre. Cela fait un certain nombre d'années qu'ils sont persécutés dans nos campagnes. Des individus mal attentionnés disposent de la nourriture empoisonnée ou truffées de bris de verre, on leur tire dessus au lance-pierre, à la carabine ou avec des carreaux d'arbalète, mais c'est la première fois que l'on parle d'ablation des parties génitales. L'individu ayant fait cela a t-il agit par mimétisme ? Possible ! 

Aucun suspect n'a pu être arrêté sur le territoire, hormis un homme dans le Haut-Rhin qui fut finalement disculpé, ainsi qu'un détraqué qui avait été surpris à Ligny-en-Barrois (55) avec "le bras engagé dans le vagin d'une jument". Seuls deux individus ont étés pris à partie avec un propriétaire d'animaux, un portrait robot avait été diffusé et les deux hommes conversant entre eux semblaient avoir un fort accent des pays l'Est, ce qui semble être une piste intéressante.


Portrait robot paru dans la presse fin août 2020

Petit détail amusant s'il en est, j'ai relevé que l'un des deux hommes était muni d'une serpette, outil qui n'est pas sans rappeler le cas de mutilation d'Opoco en Bolivie (1968) ou l'une des entités menaçait une bergère avec un bâton recourbé dont l'extrémité était terminée par une sorte de crochet, ustensile que nous retrouvons dans l'affaire du Bois des Prannes, une enquête d'Eric Zürcher. Bref, la comparaison s'arrête là.


Dessin réalisé par Eric Zürcher dans l'ouvrage : "Les Apparitions Mondiales d'Humanoïdes" aux éditions Le Temps Présent, Collection Enigma (2018)


L'autre fil conducteur est le modus operandi (l'oreille droite tranchée avant que cela se reporte sur la gauche), là aussi les tentatives d'explications restent très limitées, se limitant aux rites ésotériques et occultes. Toutes les options ont étés retenues ou presque par les enquêteurs: Individus psychopathes isolés, groupes organisés, secte satanique, effet mimétique malsain, un défi Internet, un jeu de rôles (on a cité Games Of Thrones), ou encore des fétichistes ? 

Il a été mis en évidence que certains cas ne relevaient pas de la cause humaine, que faut-il comprendre? C'est très simple, les animaux se blessent eux-même sur des objets pouvant être tranchants s'ils se sentent en danger pour une raison X, on attribue les autres cas à des attaques post-mortem par des carnassiers tels que des blaireaux, des insectes, des oiseaux tels que rapaces (vautours) ou corbeaux.

A aucun moment les médias n'osent avancer les thèses "exogènes" ce que l'on peut comprendre, le climat est suffisamment anxiogène pour qu'il faille en rajouter. Pour autant de nouveaux éléments sont apparus sur les réseaux sociaux avec des témoins oculaires signalants le vol de "drones" suspects de nuit à proximité de Drevin, un petit hameau proche de Saint-Pierre de Varennes (71). Ces appareils de grande taille seraient munis de signaux lumineux verts et bleus et évoluent au nombre de cinq, parfois sept. Alors s'agit-il de repérages avec caméras embarquées et vision infrarouge ? Cela rappelle étrangement les "Drovni" au-dessus de nos installations nucléaires et autres sites sensibles. Alors pouvons-nous envisager une organisation criminelle de grande ampleur pour laisser aussi peu de traces et d'indices pour les cas les plus étranges ? On pense immédiatement à une sorte d'expérience pour un institut particulier ou un  laboratoire privé. 

A ce titre, un éleveur du Sud-Ouest de Loches propose une piste intéressante... pour lui l’oreille coupée ou arrachée tétanise et immobilise un animal comme avec l'aide d'un tord-nez, instrument dont on a suspecté l'utilisation à Château-Salins. La douleur anesthésie le cheval. Selon lui, ces agressions servent à prélever du sang sur des juments en gestation. Le placenta sécrète une hormone, la gonadotrophine chorionique équine (eCG), utilisée en élevage bovin, ovin, caprin et porcin pour la synchronisation des chaleurs, les inséminations artificielles… Les méthodes de production de cette hormone, dans des « fermes de sang » généralement en Amérique du Sud, sont dénoncées en Europe pour la cruauté envers les animaux. Cette hormone n’est pas synthétisée en laboratoire, elle vaudrait de l’or, selon lui. « Un cheval, c’est 40 litres de sang. Vous pouvez prélever jusqu’à 15 % de ce volume avant que le cheval ne se couche », d'après-lui.

Conférence du collectif "Boucherie Abolition"pour savoir en quoi consistent "les fermes à sang" (Cliquez)

On mentionne également l'adrénochrome un composé organique rentrant dans la composition soit disant d'un puissant psychothrope. Le journaliste Hunter S. Thompson mentionne l’adrénochrome dans son livre "Las Vegas Parano". Il y écrit que l’adrénochrome est un extrait de la glande surrénale, prélevée sur des sujets encore vivants, lui octroyant un caractère exotique et rare. Pour aller plus loin dans le sordide, selon certaines théories du complot, des individus haut placés procéderaient par la torture à l’extraction d’adrénochrome sur des enfants (sur des animaux le cas présent), pour leur usage personnel mais aussi pour la revente de cette substance, au regard de ses prétendues vertus psychotropes et rajeunissantes. Cette théorie complotiste a été reprise par QAnon, elle tient plus du fantasme qu'autre chose.

Sinon reste la piste (invérifiable) de quelque chose ne venant pas de notre monde oeuvrant dans le plus grand secret sans laisser d'indices. Faute d'arguments recevables, nous la laisserons ici de côté.

Les cas de mutilations inexpliqués aux Etats-Unis remontent officiellement à l'année 1967, notre devoir en tant que chercheurs indépendants sur ces mystères est de continuer à recueillir les faits en absence de dénouement. Les hommes finissent par laisser des traces et tôt ou tard, ils se feront prendre d'une manière ou d'une autre, mais à l'évidence, sur une échelle de temps aussi étendue, il me semble légitime de garder à l'esprit que la vérité est bien préservée pour une raison qui nous échappe.


Sources: Le Républicain Lorrain, Vosges Matin, Lorraine Actu, France 3, Jeunes Agriculteurs Meuse (Facebook).

samedi 15 août 2020

Ovni / PAN Vs radars

Contrairement aux radars secondaires (technologie qui consiste à disposer d'un transpondeur pour se signaler), les radars militaires constituent un moyen empirique par défaut dans la validation et la détection des PAN. Ils peuvent parfois générer des échos fantômes, se tromper (conditions météorologiques exceptionnelles), être rendus aveugles ou inopérant en-deçà ou au-delà d'une certaine altitude. Malgré cela, il existe un certains nombres de cas tombés dans le domaine public qui sont corrélés entre des observateurs lambda et des radars primaires (voir le cas du plateau de Rozérieulles).

Le GEIPAN a la possibilité au besoin de faire appel à la défense afin qu'elle puisse leur fournir des données radar dans le cadre d'une observation de haute étrangeté. Ces dispositifs plantés un peu partout dans le décor semblent déclencher des phénomènes dans leur zone d'influence. La technologie utilise certaines gammes de fréquences et génère des flux électromagnétiques qui en modifiant le champ, incitent à provoquer ou rendre visibles ces phénomènes de manière temporaire.

Est-ce un hasard ? J'ai pu constater au fil du temps que les manifestations de PAN étaient bien plus courantes dans le sillon Mosellan avant que la BA.128 ne soit dissoute et son radar démantelé. A l'époque nous étions dans le questionnement, il était question de le maintenir pour le déplacer sur un site ad-hoc.
Récemment, le Républicain Lorrain (édition de Metz) faisait écho de la mise en place d'un nouveau radar à Châtel-Saint-Germain (57) sur le site du Fort De Guise. Celui-ci sera mis en service dans le courant de l'année 2021. Ce TRS 2215 est placé sous la juridiction de la BA. 133 de Nancy-Ochey. Il est intéressant de voir que Thalès a injecté son savoir faire technologique dans ce nouveau jouet militaire. Son rayon d'action est de 510 Km. C'est à dire qu'il va pouvoir cibler le trafic chez nos voisins Luxembourgeois, Belges et Allemands. 

 

Attendons donc de voir si les signalements repartent à la hausse...